Instinct maternel, Khalil Gibran et l’alimentation / VI

Voici les 3 billets qui m’ont marquée cette semaine sur le blog des Vendredis Intellos (a part le mien !!) :

La poule Pondeuse nous parle d’un livre qui a l’air passionnant, Les Instincts maternels, pour continuer la discussion (le débat ? la polémique ?) ouverte sur ce sujet par Elisabeth Badinter dont j’ai déjà parlé ici.

Sisi nous parle quant à elle des relations délicates entre l’alimentation des enfants et l’enjeu affectif avec les parents, ou qui n’a jamais dit à son enfant « Finis ton assiette pour faire plaisir à maman ? »

Chez nous, on doit gouter de tout, mais on n’est pas obligé de finir son assiette, on peut manger un bon bout de pain à 18h même si c’est l’heure d’aller diner, bref on est assez souple … tant qu’on mange des légumes !!!

Nos enfants ne nous appartiennent pas, on est juste là pour les accompagner, les guider, leur apprendre à faire des choix. Clem en parle ici dans un billet citant Khalil Gibran dans Le prophète, à propos de l’éducation des enfants.

Voici la suite de la citation :

Vous pouvez leur donner de l’amour, mais pas de pensées.

Car ils ont leurs propres pensées.

Vous pouvez abriter leurs corps, mais pas leurs âmes

Car celles-ci vivent dans la demeure du lendemain, que tu ne peux visiter, pas même dans tes rêves.

Tu t’efforceras peut-être de leur ressembler, mais ne les oblige pas à te copier.

Car la vie ne part en arrière pas plus qu’elle ne s’attarde sur hier.

A vendredi pour de nouveaux articles passionnants sur les VI !

3 Commentaires

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3 réponses à “Instinct maternel, Khalil Gibran et l’alimentation / VI

  1. Belle sélection ! J’aime particulièrement la dernière citation : c’est vrai, nos enfants ne nous appartiennent pas ! Bises.

  2. Oh c’est gentil, merci !
    Cet auteur est tout simplement un génie ! 😉

  3. L’alimentation des enfants
    Plus ; 94% enfants ne mangent pas les 5 fruits et légumes recommandés par jours, tandis que les 28% d’entre eux se gavent de bonbons, de chocolat ou de chips plus de trois fois par jour ! Les professionnels de la nutrition et de l’obésité ont signalé que le problème ne pouvait que s’aggraver. Ils ont également déclaré que la culture de la malbouffe à la maison devait être abordée de front. http://www.poids0.com/

    Agnès Montana

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