BabyNes, le biberon en capsules

En lisant lemonde.fr ce matin, (ouais, je lis le monde, la classe, non ?), j’ai découvert que Georges Clooney himself pouvait venir préparer le bib de ton bébé, même la nuit.

Bon, même si je ne suis plus concernée par le choix biberon ou sein, ni même lait en poudre ou liquide, ma première réaction a été de me dire « génial !! ».

Biberon et culpabilité

Pourquoi ressent-on de la culpabilité quand on donne un biberon ?

D’accord, ce n’est le cas de toutes les jeunes mamans non-allaitantes, mais tout de même, c’est un discours récurrent.

Est-ce à cause de la pression sociale donnée par les médias, de la pression familiale, ou même de la pression exercée par son mari qui quand même trouve que le sein, c’est mieux. Ou encore de la pression qu’on se met, toute seule comme une grande, parce qu’on veut vraiment donner ce qu’il y a de meilleur à son bébé ?

La dictature de l’allaitement

Je ne suis pas contre l’allaitement, bien au contraire ! Par contre, je m’oppose à ce que ça devienne une obligation, au lieu d’un choix !

Rien n’est plus personnel comme choix que celui d’allaiter ou non. Chaque femme doit pouvoir choisir si elle préfère donner le sein ou le biberon, en tenant compte des avantages et des inconvénients de chaque option, et de ses propres envies.

Pour ma part, ma première n’a eu que des biberons, sans aucune culpabilité. Elle est née en 2005, et tout le monde, y compris mes copines et le milieu médical, trouvait ça normal. C’était mon choix personnel, et personne ne m’a demandé de le justifier.